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Lumix : la tache


La tache est apparue le 13 juillet 2009, neuf mois après la mise en service de mon Lumix LX3. Comme je recadre toutes mes photos, elle ne me gène pas outre mesure. Tout de même, elle est inquiétante...



J’ai tenté de contacter Panasonic pour obtenir un appareil en prêt pendant la durée de la réparation, sachant que le mien était sous garantie. Le service consommateur a répondu non, sans discussion possible. Le service de presse n’a pas répondu du tout (3 mails). Le blog de Panasonic (Luc Saint-Elie) a bloqué mon post. Les fabricants de Lumix ne semblent pas soucieux de dialoguer avec les photographes…

A l’heure où Panasonic s’attaque, avec le GF1, à un segment plus professionnel, la question de la résistance du matériel à un usage soutenu devient primordiale.

J’ai renoncé à faire réparer mon LX3, voulant poursuivre l’aventure de mon site sans avoir à remettre en circuit mon Hasselblad X pan ou mon lourdaud de reflex numérique.

Surtout, à la fin de l’été, plusieurs constructeurs ont annoncé la sortie d’appareils compacts dotés de capteurs de bonne taille. Outre Panasonic, avec le GF1, Olympus et Leica se lancent dans cette voie. Je ne résiste pas au petit plaisir de rappeler ce que j’écrivais en décembre 2008, à la fin de l’article « Deux ans » : « Fabricants, faites un Lumix un peu plus grand avec un capteur plus confortable pour réduire de façon sensible le bruit dans les basses lumières, avec un viseur d’œil un peu moins rudimentaire et nous ne serons pas loin du Leica du XXIème siècle. »
 
Octobre 2009